avait compris 5 sur 5 ce que je lui sussurais !!!!!!! j'avais très envie de !!!! De... De... De...fuck .............
En faît , ce Maître d'hotel était assez bien " gaulé" avec sa petite tête d'English et ses grosses .......... !
Je lui demandais donc de bien vouloir faire livrer mes gourmandises dans la chambre que mon " Lord " avait réservée!!!!
Hummmm , je me régalais d'avance !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Whaoooouuuuuuuuuuuuh
Je ne manquais pas bien sûr , de lui indiquer que je
souhaitais que :
...promptement !! ce Lord de Lope me rejoigne illico dans la suite qu'il venait de nous réserver.
............Yessssssssssssssssss
Dîtes lui donc que c'est signé :
Maitresse-Clo@live.fr
Go !!!!!!!!!
Maîtresse Clo n'est
pas toujours prêteuse, c'est là un moindre défaut...
Tandis que j'astiquais le manche de Greg, je me penchais à son oreille : "Suis-moi !"
Laissant sur le tapis le couple d'Italie - j'estimais qu'ils en avaient eu suffisament -j'emmenais Greg dans notre chambre.
Je lui dis de s'allonger sur le lit, et de continuer à se branler.
J'allais dans la salle de bain. Une grande pièce tapissée de faïence vert d'eau, assortie à la couleur de la moquette moelleuse, équipée de deux grandes vasques en marbre, et d'une immense
baignoire avec une balnéo intégrée.
Je montais le thermostat du radiateur, et fis couler l'eau dans la baignoire; j'ajoutais quelques pastilles effervescentes au patchouli.
Je disposais un peu partout des bougies parfumées que j'avais achetée le matin même, et j'éteignis le plafonnier.
J'allais rejoindre Greg.
Son sexe dressé laissait ses couilles bien apparentes.
Armée d'un rasoir, j'entrepris de rendre lisse son pubis, ses bourses, et l'intérieur de ses
fesses.
Je le rasais à sec, et je prenais garde de ne pas endommager ses bijoux.
Mon travail terminé, j'en contemplais le fruit...
Greg a un torse velu.
J'adore plonger mes mains dans sa toison, et entortiller ses poils autour de mes doigts.
C'est à cet endroit précis de son corps que semble se concentrer son odeur.
Une fragrance musquée, mélangée à son parfum favori... odeur indéfinissable et intensément troublante.
L'épilation faisait encore plus ressortir son sexe, droit, satiné, vaillant.
Je demandais à Greg de me rejoindre dans la baignoire.
L'eau chaude enveloppa nos corps.
Je m'allongeais sur mon amant .
Je m'amusais à me frotter contre lui.
Mon ventre se heurtait à sa queue raide.
Mais son excitation générale n'était pas à la hauteur de mes attentes.
J'en ai déduit qu'il s'était laissé aller à jouir avec Anna; dans sa main, dans sa bouche, dans son sexe, dans son cul ?
J'allais faire fi de ce constat, pour l'instant, et me concentrer sur Mon plaisir : j'avais envie de baiser et il avait intérêt à assurer !
Je l'enfourchais sans ménagement.
A la force de mes cuisses, j'allais et venais sur sa queue, sans m'inquiéter aucunement de lui, centrée
sur mon ventre en chaleur.
Greg avait bien saisi mon message implicite, et devenait, consentant, mon gode humain.
Je ne voulait plus lui offrir la vue de mes seins, et j'effectuais un demi-tour sur sa trique engloutie.
D'un mouvement sec, j'écartais ses mains qui se hasardaient sur ma poitrine.
Puis je me mis à quatre pattes, les fesses effleurant la surface de l'eau.
"Baise-moi mieux que ça !"
Derrière moi, sans me toucher comme je le lui avait ordonné, Greg s'appliqua, à coups de reins, à envahir mon sexe, puis mon corps tout entier d'une jouissance dévorante...
"Maintenant, tu peux aller te coucher; mais laisse-moi le lit, j'ai envie de dormir seule"...
Nous nous installâmes
tous les quatre sur le canapé, devant le feu qui se mourrait.
Je me suis blottie contre Greg.
Il passa un bras autour de mon cou, et m'embrassa, longuement...
De sa main libre, il caressait mon corps, sagement, par-dessus mes vêtements.
Pierre s'était levé pour venir s'agenouiller entre mes jambes, qu'il avait écartées.
Ses mains légères montaient et descendaient le long de mes bas, s'appesantissant graduellement sur le haut et l'intérieur de mes cuisses.
Il enfonça sa tête dans mon entrejambe, et je sentis sa langue
laborieuse venir travailler mon bouton de rose. Je plongeais mes mains dans sa chevelure.
J'essayais de contrôler mon plaisir qui progressait trop rapidement à mon goût...
Je ne voulais pas succomber à langue de Pierre, et par là le priver de mon plaisir, comme je
l'avais fait précédement pour le sien...
Je repoussais donc sa tête, et l'amenais vers la bouche d'Anna, tandis que j'entrainais les doigts de cette dernière vers mon sexe, noyé sous la salive de son mari et ma cyprine, intimement
mêlées.
Je me laissais aller sous les caresses buccales d'Anna, et mon extase, initiée par Pierre, se révela fulgurante.
..
J'étais encore dans les brumes résiduelles de ma délectation orgasmique, quand je m'aperçus que la bouche d'Anna s'occupait maintenant de la trique de Greg, tandis que Pierre continuait de
butiner sa dulcinée.
Me relevant rapidement, je refusais à Anna la poursuite de sa fellation en m'emparant de la queue de Greg, d'une main bien déterminée à contrôler la situation...
Je sentais le sexe de
Pierre gonfler par palier, il était au bord de l'éjaculation.
Je reculais ma tête doucement...
Pierre avait le regard dans le vide, l'expression hagarde d'un plaisir avorté.
Il se reprit rapidement et éclata de rire : "Toi, tu n'as pas changé !".
Complices, nous nous sommes rhabillés, puis avons regagné le salon, pour retrouver Anna et Greg .
Ils étaient maintenant engagés dans une discussion assez vive, qu'ils interrompirent à notre arrivée.
Pierre et moi nous sommes assis spontanément à côté de nos conjoints respectifs.
Il ne demeurait plus aucune trace de leurs batifolages.
Nous prolongeâmes une discussion préexistante - de laquelle Pierre et moi avions été exclus - sur un mode badin.
Entre nous, plus aucune complicité consensuelle, juste des échanges de couples amis, autour de sujet admissibles dans l'occurence d'une relation cordiale.
Pierre et Anna évoquèrent leur vie à Venise, leurs nouveaux amis, leurs dificultés d'intégration professionnelle, leurs projets.
Greg et moi abordâmes des sujets du même
ordre...
Nous sommes allés dîner dans une trattoria toute proche, où Anna et Piere avaient leurs habitudes.
De retour dans la demeure familiale, un certain trouble s'est installé : qui allait dormir avec qui, et où ?
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