Anna et
Greg tournèrent
leur visage vers moi.
Je leur fis un clin d'oeil, et gagnais la cuisine pour me préparer un thé.
J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, puis des échos de la voix de Pierre, qui vint me rejoindre.
Il n'avait pas changé depuis notre dernière rencontre.
Grand, un port altier, des cheveux poivre et sel très courts, un regard bleu acier; il émanait de lui une forte sensualité qui m'émoustillait.
Distant, son comportement n'avait cependant jamais été équivoque à mon égard, et il ne manquait pas une occasion pour me frôler, glisser son regard sur mes jambes ou mon décolleté, ou me
faire des compliments sur ma facture...
Je lui connaissais de nombreuses maîtresses, Anna disait qu'il avait un appétit sexuel insatiable.
Pierre partagea une tasse de thé avec moi, et me dit tout le plaisir qu'il avait que nous ayons accepté leur invitation.
Je lui posais quelques questions sur l'organisation de la soirée du lendemain, mais posant ses lèvres
sur les miennes, il me fit taire rapidement : "C'est une surprise !"...
Je n'insistais pas, préférant mêler ma langue à la sienne.
Sa bouche avait le goût musqué du tabac brun.
Pierre m'attira vers lui, et je me collais contre son torse large.
Il fit descendre une de ses mains de ma taille vers mes fesses, releva ma jupe, et glissa ses doigts
entre mes cuisses.
J'écartais mes jambes, pour lui permettre de me lutiner.
Du salon nous parvenaient les gémissements d'Anna, mêlés à ceux de Greg...
Entraînant Pierre, je retirais ma jupe qui m'entravait , je n'avais pas de culotte.
Je m'assis sur le rebord de l'évier; le pantalon de Pierre avait glissé sur ses talons, et son sexe en érection semblait vouloir percer son boxer.
Je malaxais d'abord sa queue par dessus le tissu.
Impatient et agacé, Pierre voulut retirer son boxer. Je l'en empêchais, préférant glisser ma main par
dessous, pour attraper se couilles.
Je tirais progressivement dessus, jusqu'à l'entendre geindre...
Il ne débandait pas, bien au contraire ! Sa trique jaillissait maintenant de sa prison en textile.
Une goutte de liquide séminal perlait à l'extrémité de son gland.
Je me penchais vers ce don, pour le laper délicatement.
Progressivement, j'introduisais sa bite dans ma gorge, la suçant, la têtant...
Mes mains posées sur ses fesses, j'intimais à Pierre le rythme de ses charges.
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