Les Nouvelles de Clo

Mercredi 11 février 3 11 /02 /Fév 10:00

  Anna et Greg tournèrent leur visage vers moi.
Je leur fis un clin d'oeil, et gagnais la cuisine pour me préparer un thé.

J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, puis des échos de la voix de Pierre, qui vint me rejoindre.

Il n'avait pas changé depuis notre dernière rencontre.

Grand, un port altier, des cheveux poivre et sel très courts, un regard bleu acier; il émanait de lui une forte sensualité qui m'émoustillait.
Distant, son comportement n'avait cependant jamais été équivoque à mon égard, et il ne manquait pas une occasion pour me frôler, glisser son regard sur mes jambes ou mon décolleté, ou me faire des compliments sur ma facture...

Je lui connaissais de nombreuses maîtresses, Anna disait qu'il avait un appétit sexuel insatiable.

                                                     



                                                  

                                                                                                                                                                                   


Pierre partagea une tasse de thé avec moi, et me dit tout le plaisir qu'il avait que nous ayons accepté leur invitation.

Je lui posais quelques questions sur l'organisation de la soirée du lendemain, mais posant ses lèvres sur les miennes, il me fit taire rapidement : "C'est une surprise !"...







Je n'insistais pas, préférant mêler ma langue à la sienne.

Sa bouche avait le goût musqué du tabac brun.











Pierre m'attira vers lui, et je me collais contre son torse large.

Il fit descendre une de ses mains de ma taille vers mes fesses, releva ma jupe, et glissa ses doigts entre mes cuisses.
J'écartais mes jambes, pour lui permettre de me lutiner.

Du salon nous parvenaient les gémissements d'Anna, mêlés à ceux de Greg...

Entraînant Pierre, je retirais ma jupe qui m'entravait , je n'avais pas de culotte.
Je m'assis sur le rebord de l'évier; le pantalon de Pierre avait glissé sur ses talons, et son sexe en érection semblait vouloir percer son boxer.



Je malaxais d'abord sa queue par dessus le tissu.

Impatient et agacé, Pierre voulut retirer son boxer. Je l'en empêchais, préférant glisser ma main par dessous, pour attraper se couilles.

Je tirais progressivement dessus, jusqu'à l'entendre geindre...



Il ne débandait pas, bien au contraire ! Sa trique jaillissait maintenant de sa prison en textile.
Une goutte de liquide séminal perlait à l'extrémité de son gland.
Je me penchais vers ce don, pour le laper délicatement.
Progressivement, j'introduisais sa bite dans ma gorge, la suçant, la têtant...
Mes mains posées sur ses fesses, j'intimais à Pierre le rythme de ses charges.












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Mardi 10 février 2 10 /02 /Fév 10:36

 La demeure était immense, et le couple n'en occupait que le premier niveau.
En hôte accomplie, elle nous aida à nous installer dans une des chambres d'amis, puis nous enjoignit à la rejoindre au salon quand nous serions délassés.  


La pièce était immense, subdivisée en petits salons, articulés autour d'un canapé ample et engageant  faisant face à une imposante cheminée.


Le feu crépitait dans l'âtre, Anna était lovée dans un angle du canapé, le regard absorbé par les flammes.
Elle avait allongé ses jambes sur la table basse devant elle, et sa robe en lainage rouge, remontée sur ses cuisses, laissait appercevoir la lisière en dentelle de ses bas noirs.

Notre arrivée l'arracha à ses pensées.

Nous nous sommes assis à ses côtés.
Je sentais le regard de Greg appâté par le tableau suggestif de ces jambes, donnant si peu à voir, mais tant à imaginer...

Anna nous apprit qu'elle avait organisé, pour le lendemain soir, une soirée masquée à laquelle elle avait convié des couples amis très proches, qui partageaient ses affinités...

Un peu prise au dépourvu, je m'enquéris des boutiques où il me serait possible de trouver des parures adéquates.

Laissant Anna et Greg seuls, je partis faire mes emplettes.
J'en profitais pour flâner, et découvrir quelques splendeurs de cette ville captivante.

A mon retour, je retrouvais Anna et Greg dans le salon, bercés par un concerto de Bach.
                                                                                                                                            Ils étaient à présent enlacés.
                                                                                           




La robe d'anna était maintenant remontée sur ses hanches, et on pouvait voir l'empreinte claire de son maillot protégé du bronzage estival.
Au centre de son pubis, une petite bande de poils noirs désignait l'entrée de sa fente.
Ses cuisses étaient entrouvertes.
Une petite culotte en dentelle noire était tombée sur le tapis.




Greg était torse nu.
Sa chemise gisait à côté de la guipure noire.
Son sexe raide jaillissait de sa braguette éventrée, ses couilles étaient coincées sous l'élastique large de son caleçon.

Par greg & Clo - Publié dans : Les Nouvelles de Clo
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Lundi 9 février 1 09 /02 /Fév 13:00

Il y aura bientôt deux ans, Greg et moi sommes allés à Venise.

Nous ne connaissions pas cette ville mythique, et y avions été invités par un couple ami qui posséde un hôtel particulier, héritage d'une prospérité passée.

Pour parvenir à leur adresse, nous avions du emprunter le vaporetto depuis la gare, jusqu'à la place San Marco.

C'était le matin, les magasins ouvraient, les ménagères matinales trottaient sur les trottoirs, accrochées à leurs cabas, des enfants, cartables sur le dos, marchaient d'un pas rapide vers leurs écoles.

Nous nous sommes trompés de rue, sommes revenus sur nos pas, avons erré dans un dédale de venelles, avant d'arriver au Campo Santa Maria Formosa et de là, à l'église San Giovanni e Paolo.
Nous n'étions plus très loin !

Arrivés devant une lourde porte en bois vert, nous avons sonné.

C'est Anna qui est venue nous ouvrir.

Anna est une amie de Greg, rencontrée au cours de ses études universitaires.
Ils faisaient partie du même groupe, fréquentaient les mêmes lieux, allaient aux mêmes fêtes.
Ils étaient parfois amants, quand leurs corps avaient besoin de se réchauffer et de se retrouver en terrain connu.

Et puis Anna a rencontré Pierre, ils étaient amoureux, et elle est venue moins souvent partager le lit de Greg.

Une fois diplômés, chacun a suivi son parcours, soumis aux aléas géographiques des mutations professionnelles.
Anna a épousé Pierre.
Greg et elle sont cependant toujours restés en contact, se voyant de tempsà autre, et conservant la complicité de leurs corps.

Les grands-parents paternels d'Anna étaient italiens.
De ses racines méditérranéenes, elle a conservé la spontanéité du contact, la volubilité, et la joie de vivre.

Anna est une femme racée.
Petite et menue, elle a des cheveux noirs coupés au carré.
Sa peau mate fait  ressortir ses yeux vert d'eau pétillants.
Elle a des mains fines, avec de longs doigts, et des ongles toujours parfaitement manucurés.

Mais ce que l'on voit en premier chez elle, ce sont ses seins...
Comment une femme aussi mince peut-elle avoir une telle poitrine ? C'est la question que je me suis posée qand je l'ai vue pour la première fois...
Ses seins sont volumineux, hauts et arrogants; offerts fatalement à la vue; on les devine fermes.

Anna connait leurs charmes, et sait les mettre en valeurs, sans jamais être vulgaire...


Greg m'avait confiée que les seins d'Anna rendaient fous tous les étudiants du campus, lui y compris...









Anna nous a accueillis avec enthousiasme.




Sensuellement ,

Clo
Suite demain !!! 
PS: J'envoie aux abonnés la newsletter d'aujourd'hui avec d'autres photos surprenantes  sur le même thème et une autre qui ne sera jamais publiée car elle fait partie du making-off de la séance de photos d'hier .
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Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 22:09

Le préservatif masculin est défini  - dans le Petit Larousse-  comme "un étui souple en forme de doigt de gant placé sur le pénis, et recommandé également pour la protection contre les MST".
J'aurais quelques précisions à apporter...

 

"Etui", sous entend que l'objet, précieux, est à protéger.
Ici on comprend qu'il s'agit d'une prophylaxie contre les MST, toujours redoutables, voire mortelles, encore aujourd'hui.

"Souple", c'est bien, il faudrait ajouter fin, pour le confort de monsieur, et nervuré (par exemple) pour le confort de madame...

"En forme de doigt de gant"... C'est pour un liliputien ???  Et les bien membrés, ils font comment ?

"Placé", ça veut dire posé ???
J'aurais plutôt dit "déroulé", ça peut toujours servir aux quelques ados rougissants qui cherchent partout des infos...

Et puis, ils auraient pu préciser que le dit pénis doit être en érection !

Imaginez ceux qui voudraient s'entraîner à sec, histoire de pas gâcher leur première soirée d'enfer !!!

Bref, tout ceci n'est pas bandant, et on ne s'étonnera plus que cette chose en latex ait si peu de succès.

Pourtant, il fait partie de ma panoplie d'accessoires...

J'aime la capote !

J'adore la dérouler sur une queue raide qui préférerait entrer dans ma chatte plutôt que dans cet "étui"...

A cause de cette bonbonnière, le mâle en rut ne sentira pas l'humidité du terrier féminin, source d'excitation supplémentaire... Et vous devinerez que cette frustration n'est pas pour me déplaire...

Pour satisfaire ma gourmandise, j'ai le choix entre différents parfum : vanille, chocolat, fraise, fruits exotiques... Miam !

Et pour mon plaisir interne, les concepteurs ont imaginé des modèles nervurés, en relief, pour mieux me travailler de l'intérieur... Un véritable gode vivant et chaud !

Bref, tous les bénéfices sont pour moi !!!

Il ne me reste plus qu'à décider du moment où je retirerai la capote, si je la retire !!!
Et alors, j'accueillerai avec satisfaction le "Merci" de mon soumis, avant de lui permettre de me pénétrer...









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Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 18:30

 Abandonnant Isabelle avec son joujou, j'entrainais Greg sur le tapis devant la cheminée.
J'emprisonnais sa queue et ses couilles dans le cockring acquis lors de notre dernier séjour à Amsterdam. Je le serrais au maximum, et j'en profitais pour triturer ses burnes, les pincer, les tirer.

Greg s'agitait en gémissant, répétant d'une voix rauque : "encore...".

J'effleurais de ma langue son gland à plusieurs reprises, avant d'absorber sa queue toute entière dans ma gorge profonde.

Isabelle avait cessé de jouer avec son petit canard, et nous observait, deux doigts habiles introduits dans sa chatte, et se pelotant les seins de l'autre main.


M'accroupissant devant Greg, je posais mes mains sur les bras d'un fauteuil, levais mes fesses et ouvrais mes jambes, lui offrant mes deux trous à jouir...
Greg s'introduisit fougueusement dans mon con en râlant, et me lima avec ardeur et exaltation.

 

Le plaisir me vînt rapidement, toute mouillée que j'étais par les péliminaires !

Ma jouissance fulgurante, telle une vague  torride enflammant mon ventre me surprit moi-même.
Le plaisir envahit mon corps entier, qui se raidit dans un long spasme orgasmique.

Je me laissais glisser au pied du siège avec indolence.

Greg poursuivait son plaisir en se branlant.

Je lui dis qu'il m'avait bien baisée, et que de ce fait, je l'autorisais à prendre son plaisir.

J'ôtais son cockring, et le prenant par le sexe, je le dirigeais vers Isabelle qui s'assit sur le bord de la méridienne, la bouche à la hauteur de sa sucette.

Prenant la tête d'Isabelle, je l'invitais à aller vidanger les couilles de mon homme.
Une main à la base de la queue de Greg, j'accompagnais ses frictions.
Sentant venir sa jouissance au subtil gonflement de sa verge, je lui sussurais d'y aller. 

En quelques coups de rein Greg parvînt à l'ultime étape de sa soirée.

Plaquant le visage d'Isabelle contre son membre, il décharga son foutre en plusieurs spasmes, remplissant la bouche de ma soumise.
Isabelle me regarda langoureusement, et le sperme coulant encore de sa bouche, elle articula : "Merci Maîtresse !".

 

 

 

 

 


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