Le blog de Clo
J'entrainais Isabelle vers la méridienne, située derrière Greg.
La douceur du velours sur nos peaux fut comme une caresse supplémentaire.
Isabelle a un corps long et une peau pâle, des petits seins ronds, une taille marquée, des hanches étroites, des fesses rebondies.
Son pubis toujours lisse est doux, l'intérieur de ses cuisses chaud et sucré.
Les lèvres de son sexe sont étroites et resserrées, masquant le trésor mystérieux de la jouissance féminine insondable.
Allongée à côté d'elle, mes mains carressaient son corps, s'attardant sur ses courbes, son ventre, glissant vers sa faille particulièrement mouillée.
Bloquant ses poignets avec mes mains, je fis glisser mon visage de sa bouche vers ses seins, enserrant successivement ses tétons de mes lèvres et de mes dents, les mordillant jusqu'à la
faire crier de plaisir.
Mon regard se tourna vers Greg.
Il était au comble de l'excitation.
Sa verge était tendue à l'extrême, la peau devenue translucide laissait appercevoir les battements des vaisseaux, le scrotum même était
contracté.
Le gland dégagé était rose vif et luisant.
Ce fourreau dressé semblait intimer au bassin de Greg un mouvement de va et vient, reflexe visant un soulagement voluptueux.
La tension suprême de son sexe s'était répandue dans tout son corps.
Sa nuque, son dos, ses jambes étaient contractées. Ses poings étaient serrés. De la sueur perlait sur son front.
Je relevais Isabelle, et l'amenais devant Greg.
D'un mouvement vif et souple, elle vînt se positionner, jambes écartées, sexe ouvert, juste au-dessus du sexe raide offert par Greg.
Doucement, elle s'abaissa de manière à introduire progressivement la queue affamée dans sa trouée chaude et humide...
